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La Responsabilité Sociale d'Entreprise et le volet humain du développement durable par Kyos Conseil

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À propos de l'auteur

L'ISO prépare des lignes directrices pour la RSE

L'organisation internationale de normalisation -plus connue sous son sigle anglais d'ISO- a décidé en juin 2004 de travailler à l'élaboration de lignes directrices pour la responsabilité sociale (guidance on social responsability). 37 pays sur les 146 que compte l'ISO ont approuvé la création d'un groupe de travail sur

la RSE

et 32 vont y participer.

Ces lignes directrices ne formeront pas un système de gestion standard ni une base de certification. Les travaux devraient durer trois ans et la norme être publiée début 2008.

Lire la suite "L'ISO prépare des lignes directrices pour la RSE" »

22/02/2006 dans 1. La RSE, 2. L'Entreprise socialement responsable | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Le principe de précaution

Le « principe de précaution » a été défini par l'ONU en 1994 et s'énonce ainsi : « quand il y a risques de perturbations graves ou irréversibles, l'absence de certitude scientifique absolue ne pas servir de prétexte pour différer l'adoption de mesures. »

Le principe de précaution est aujourd'hui inscrit dans la constitution française...

31/01/2006 dans 1. La RSE, 2. L'Entreprise socialement responsable, 5. Le Développement Durable, 6. L'environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Les sept éthiques

Philippe Détrie, dans son ouvrage l'entreprise durable, publié aux éditions Dunod propose sept formes d'éthique reposant sur trois motivations.

Lire la suite "Les sept éthiques" »

30/01/2006 dans 1. La RSE, 2. L'Entreprise socialement responsable | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Le presse en parle

N'oubliez pas de visiter notre second blog consacré à la presse :

  • retrouvez-y des articles parus
  • venez lire nos réactions
  • alertez nous sur vos lectures

http://kyos-conseil.blogs.com/presse/

07/01/2006 dans 1. La RSE, 2. L'Entreprise socialement responsable, 3. l'Engagement socialement responsable, 4. L'Investissement socialement responsable, 5. Le Développement Durable, 6. L'environnement, 7. L'Homme et le social, A. Faire avancer les débats, B. Renoncer aux idées reçues, C. Lire et découvrir, E. Relier et inviter, Weblogs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

la RSE kezako ? (petit rappel)

« Etre socialement responsable signifie non seulement satisfaire pleinement aux obligations juridiques applicables, mais aller au-delà et « investir » davantage dans le capital humain, l’environnement et les parties prenantes. »

extrait du Livre Vert de le Commission des Communautés Européennes sur la responsabilité sociale des entreprises (2001, Page 7)

15/11/2005 dans 1. La RSE | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Aborder la RSE : 2 triades s’en mêlent

Il existe plusieurs manières d’aborder la RSE. Elles se rangent dans :

  • des catégories d’intentions : le militantisme, l’obligation et l’opportunisme.
  • des catégories de mise en œuvre que nous avons baptisé : la petite porte, la « easy way » et la démarche structurée.

Nous allons revenir sur chaque typologie pour les expliquer puis vous les présenter sous forme de matrice. Les intentions :

  • le militantisme. Qu’est ce que le militantisme vient faire dans l’univers de l’entreprise ? On connaît des entrepreneurs militants dans des associations, des lobbies. Mais y-en-a-t-il qui soient assez fous pour utiliser tout le potentiel de leur entreprise au service d’une cause ? Il y en a croyez nous ! En voici un portrait. Mathieu est un jeune homme de 24 ans et il a déjà créé sa marque de vêtements. C'est lors d'une mission humanitaire au Pérou qu'il a eu le déclic. Ses survêtements Misericordia sont vendus chez Colette et relooke les bobos. « Au Pérou il finance des œuvres bénédictines, rémunère ses employés (tous majeurs) 50% au dessus du salaire local, reverse 70% de ses bénéfices pour la construction d’un dispensaire… ». Son premier chiffre d’affaire s’élève tout de même à 250 000€ (portrait paru dans Management, décembre 2004). Ce sont les frasques de la jeunesse ? Pas si sûr....
  • l’obligation. L’obligation c’est le jeu de l’effet de filière. Quand votre plus gros client vous informe que si désormais vous n’avez pas une vraie crédibilité en matière de RSE il n’achètera plus vos produits… Prenons l’exemple d’un fabricant de tapis pour une grande enseigne de la distribution : si il veut rester fournisseur il lui faudra peut être obtenir le label STEP.
  • l’opportunisme. Restons dans le secteur de l’ameublement. Imaginons que vous êtes vendeur pour une société qui fabrique des meubles en bois exotique. Votre client publie un rapport de développement durable. Que croyez vous que dira l’acheteur si vous lui garantissez un programme de replantage d’arbre, de gestion écologique et commerce équitable ? Peut-être deviendrez vous un plus gros fournisseurs…

Les façons de mettre en œuvre la RSE maintenant.

  • première approche possible : une démarche très structurée. C’est l’approche des grandes entreprises qui souhaitent être rapidement notées socialement. C’est aussi l’approche de beaucoup des premières entreprises qui y ont vu un possible avantage concurrentiel. Si on veut être rapidement crédible, il faut prendre des engagements et être capable d’offrir une certaine forme de transparence qui couvre tout le périmètre de l’entreprise. Généralement ces approches partent du sommet de l’entreprise et sont déployées (on parle de logique top-down).
  • seconde approche, à l’opposé, la « petite porte ». Elle consiste à mettre en place une ou deux actions en lesquelles on croit fortement. Deux façons de faire : faire sans se préoccuper de ce que font les concurrents ou, au contraire, être suiveur et repérer les meilleurs pratiques.
  • dernière approche : baptisée Easy Way. Elle a plusieurs caractéristiques qui permettent de la classer dans une politique volontariste tout en restant souple. Dans cette approche, l’entreprise prend le temps de bâtir une vision et de ses donner des ambitions en matière de RSE. Mais la direction ne s’engage pas dans quelque chose de très structuré, elle fait le choix de rester sur des logiques de sensibilisation et surtout d’expérimentation en attendant une diffusion progressive. On est là dans une stratégie bottom-up.

militantisme

Obligation

Opportunisme

Petite porte

X

X

Easy way

X

X

X

Démarche structurée

X

X

Chez Kyos, nous sommes partisans de prendre le temps d’apprendre et d’appliquer l’approche Easy Way. Autre avantage : elle est beaucoup moins coûteuse et permet de rassembler en interne sur le mode « expérimentation-valorisation ». Cela veut dire qu’on sache fêter les petites victoires comme les grandes et cela promeut l’esprit d’initiative.

05/10/2005 dans 1. La RSE | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Faire ou être RSE, concrètement ? C’est quoi ?

Beaucoup de nos clients nous interpellent : « tout ça ce sont de beaux discours mais concrètement le développement durable et la RSE (Responsabilité Sociale de l'Entreprise) c’est quoi ? » ou encore « oui, c’est dans l’air du temps, mais ça n’est pas pour nous, nous ne sommes pas concernés».

C’est vrai que le discours actuel sur le Développement Durable et la RSE accumule contresens, approximations et vides théoriques et pratiques. E. Quéinnec, dont nous vous proposons la lecture, fournit une vision acide et parfois drôle de ce discours.

http://kyos-conseil.blogs.com/kyos_conseil/2005/09/pour_une_critiq.html

Comme le concret manque, nous vous proposons des leviers utiles et réels. Il faut ainsi distinguer deux aspects :

  • Etre socialement responsable

  • Faire de la RSE ou s’engager dans une démarche RSE

Le premier consiste à se rapprocher d'un niveau de conformité, généralement prescrit par la loi. La plupart des entreprises y sont largement parvenues, au moins sur le sol français. Le second c’est vouloir atteindre une haute performance assise sur les 3 piliers du Développement Durable : l’environnemental, l’économique et plus particulièrement le social et le sociétal.

Il existe a priori 3 catégories d’outils :

  • des principes, des lignes directrices, des codes de déontologie avec leurs batteries de mesures. Au bout du compte, ce qui est en jeu c’est une forme « label social »

  • des approches pour l’élaboration de systèmes de gestion avec indicateurs à l’appui. On aboutit alors souvent au « rapport social »

  • des sensibilisations et autres « formations sociales »

Mais cette approche concerne les entreprises qui se lancent dans une programmation ambitieuse et systématique de la RSE. Or beaucoup d’entreprises n’en ont pas l’envie ou les moyens. (cf. notre article sur « aborder la RSE », à paraître, cf. notre article sur notre méthodologie EnBiObSys, à paraître)

Chez Kyos, nous proposons de travailler prioritairement sur des niveaux simples car ils s’appliquent à n’importe quelle société. Il y en a 5 dont la plupart peuvent être traités séparément :

  1. la vision des dirigeants

  2. la mesure des forces et des faiblesses

  3. la cohérence

  4. le développement d’un lien plus participatif et plus horizontal parmi les équipes, d’une part, et avec les parties prenantes, d’autre part.

  5. les conditions de travail

1. la vision

D’une manière générale nous constatons que malgré les outils de communication, de reporting, de gestion de projet, nombre de nos clients se plaingnent que « tout le monde ne va pas dans le même sens ». C’est souvent (mais pas toujours) parce que la vision n’a pas été suffisamment déclinée et commentée, y compris chez les cadres supérieurs (Il faut y voir les effets de nos limites cognitives plus qu’une volonté délibérée de retenir l’information). Nous avons ainsi vu un client qui observait l’inefficacité de son équipe projet sur un défi majeur de plusieurs centaines de millions d’euros. Pas étonnant : certains avaient en tête « l’innovation à tout prix » et d’autres « nous innoverons à la marge, inutile de prendre des risques ». La vision qu’elle soit ou non impactée par une politique RSE doit être sans cesse retravaillée et déclinée.

2. la mesure des forces et des faiblesses

Les entreprises n’utilisent pas toutes les sources d’information à leur disposition, plus par méconnaissance ou par incapacité technique et managériale que par contrainte de temps. L’enjeu est d’identifier ces sources et à leur permettre naturellement de vous remonter les informations sensibles. Votre capacité à identifier les risques et les opportunités cachées s’en trouve considérablement améliorée.

3. la cohérence

Ce mot est fondateur chez Kyos : ce qui n’est pas cohérent n’est pas efficient et performant. Cette cohérence recouvre une matrice. Verticalement, elle va de l’intention stratégique jusqu’aux pratiques de terrain et aux engagements internes et externes (en passant par la vision, la stratégie, les valeurs, les pratiques managériales…). Horizontalement, elle doit traverser toutes les fonctions et les collectifs de l’entreprise. Un vœu pieu ? Lorsque les dirigeants découvrent qu’un peu de méthode et beaucoup de sensibilité sur le sujet suffisent, ils en sont étonnés.

4. le lien

Mettre en lien accompagne souvent le travail sur la cohérence, la mesure et la vision. Nous vous proposons d’améliorer les relations internes et externes. En interne, l’objectif est que vos équipes soient entraînées à l’inédit, qu’elles sachent prendre des initiatives et innover. En externe, vos parties prenantes (actionnaires, clients, fournisseurs, associations de consommateurs ou de riverains…) doivent participer au développement de votre entreprise en renforçant la confiance qu’elles placent en vous (la « licence to operate ») et en augmentant votre capacité de créativité.

5. les conditions de travail

Aujourd’hui le tout psychologique domine en France. On parle de harcèlement moral, de suicides reconnus comme accidents du travail. On fait appel aux coachs, aux psychologues… Loin de nous l’idée de rejeter cette approche, mais nous militons pour redonner aux collectifs et aux conditions de travail leurs places parmi les leviers de performance. L’absentéisme et les accidents du travail coûtent chers (3% du PIB américain) ? Les obligations de recrutement de travailleurs handicapés vous posent problèmes ? Il existe de nombreuses voies qui sont aujourd’hui délaissées par les entreprises. Premier exemple : maintenir un employé momentanément en incapacité au travail plutôt que de laisser chez lui ou de le placer dans un travail subalterne. Outre le coût immédiat, sa motivation et, peut être, celle de de ses collègues en serait durablement affectées. Deuxième exemple : travailler sur les collectifs de travail pour une identité renforcée et des organisations plus motivantes et plus performantes.

Voilà concrètement comment sans le dire on peut « faire de la RSE »…

20/09/2005 dans 1. La RSE | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)

Pour une critique de la RSE

Etre dans la mouvance de la Responsabilité Sociale d’Entreprise (RSE) nous oblige, par conviction et par construction, à faire preuve de transparence et d’honnêteté intellectuelle… et c’est tant mieux !

RSE et Développement Durable sont encore des concepts dont les contours sont flous et qui abritent beaucoup de fantasmes. De la critique naîtra une conception plus forte et plus équilibrée, tout comme nos entreprises progressent en intégrant les feed-back aussi bien négatifs que positifs de leur marché.

Ce mois-ci nous vous proposons de lire deux articles, écrits par Erwann Quéinnec, diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et enseignant-chercheur. Il s’agit, selon nous, d’une critique intense et constructive du discours qui entoure la RSE et de ses fondements mêmes. La vision que nous livre l’auteur est libérale (précisément libertarienne). Les deux liens correspondent aux deux parties d’un même article.

http://www.quebecoislibre.org/04/041115-6.htm

http://www.quebecoislibre.org/04/041215-8.htm

Extraits choisis

« Savoir ce qui, dans nos problèmes (ou nos succès) socio-économiques, doit être imputé à l’action de l’Etat ou à celle de l’individu libre [entendez l’entrepreneur], relève stricto sensu de spéculations intellectuelles dont la valeur dépend grandement de la rationalité qui les fonde. »

« On peut schématiquement identifier deux sortes de discours pro-RSE : le premier se nourrit de théories pop hostiles au capitalisme et reprend à son compte tous les poncifs qu’il est possible de lire sur ce sujet… »

« Il est donc aussi faux que dangereux de postuler une antinomie d’intérêts entre shareholders et stakeholders »

« [À propos de la RSE] je prédis simplement que de considérables effets pervers naîtront de ses recommandations. »

« Ce qu’on qualifie de responsabilité sociale n’est rien d’autre qu’une extension du périmètre de la responsabilité civile de la firme. »

20/09/2005 dans 1. La RSE, A. Faire avancer les débats, E. Relier et inviter | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

RSE effet de mode ?

Les entreprises s'engagent dans une démarche RSE en allant au-delà des prescriptions légales. Il s'agit d'une action volontaire, qui permet à une entreprise de pouvoir dire qu'elle a un comportement socialement responsable. La RSE ne représente pas une nouvelle « couche » dans un système de management, puisqu'elle a trait à la gestion même de l'entreprise. Elle crée bien davantage une logique managériale cohérente et porteuse de sens.

L'élément majeur concourant à développer les démarches RSE est la généralisation du processus de reporting sociétal. Il existe en effet une réglementation croissante pour les grandes entreprises dans ce domaine. La plupart des grands pays européens se sont dotés de législations plus ou moins contraignantes. Le Danemark, dès juin 1995, a adopté une loi incitant les entreprises à la publication d'un rapport environnemental. Plus récemment, la France, depuis le 1er janvier 2003, a contraint les entreprises cotées de droit français à publier dans leur rapport annuel un certain nombre d'informations sur « la manière dont elles prennent en compte les conséquences sociales et environnementales de leur activité ». Cette obligation a été introduite par l'article 116 de la loi du 15 mai 2001, dite loi NRE (Nouvelles Régulations Economiques).

Par ailleurs, les entreprises s’intéressent de plus en plus à la RSE (que ce soit par militantisme ou par opportunisme). Les points positifs sont aujourd’hui largement médiatisés et des recherches scientifiques commencent à affiner des conclusions déjà connues. Les bénéfices les plus communément cités sont les suivants :

-        la fidélisation des clients, l'impact sur la réputation et l'image

-        le développement d'un avantage concurrentiel

-        la fidélisation et la motivation des salariés

-        le développement de relations plus étroites avec la communauté et les pouvoirs publics

24/08/2005 dans 1. La RSE | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Table Ronde de Caux

La prochaine table ronde de Caux aura lieu du 20 au 22 octobre 2005 à Varsovie. Elle sera ouverte par l'ancien président Lech Walesa. Cette année elle se focalisera donc sur les pratiques dans les pays d'Europe Centrale et de l'Est.

Pour mémoire, la table de Caux (Suisse) est aux social ce que Davos est à l'économique. Elle a éré fondée en 1986 par Frederick Phillips, alors président de Philips Electronics et Olivier Giscard d'Estaing, alors vice-président de l'Insead. S'appuyant sur deux notions fondamentales, la notion japonaise de Kyosei (d'où vient le nom de Kyos) et la notion de dignité humaine, elle a édicté dès 1994 une première version des "principes pour la conduite des affaires". Ceux-ci ont été repris dans la plupart des guides et normes ayant trait au Développement Durable et à la Responsabilité Sociale des Entreprises. retrouvez les sur http://www.cauxroundtable.org/principles.html

Si vous voulez en savoir plus sur le Kyosei, si vous vous interrogez sur la Responsabilité Sociale des Entreprises ou si vous avez une expérience intéressante à communiquer, n'hésitez pas à poster vos commentaires...

02/08/2005 dans 1. La RSE, 5. Le Développement Durable, 7. L'Homme et le social, A. Faire avancer les débats, E. Relier et inviter | Lien permanent | Commentaires (0)

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